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sociaux sur l’existence des troubles mentaux, aucune ne désagrège les donnéessociaux sur l’existence des troubles mentaux, aucune ne désagrège les donnéesen fonction de l’appartenance à une communauté de langue officielle ensituation minoritaire, un fait pourtant reconnu pouvant avoir un impact sur lasanté. L’incidence des langues et de la communication sur l’accès, la qualité etla sécurité des soins acquiert une portée plus grande dans le contexte canadienoù coexistent deux langues officielles. Nous partons de cette prémisse pourdresser ici le portrait de la santé mentale de la population francophone vivanten situation linguistique minoritaire à partir des données de l’Enquête de santédans les collectivités canadiennes — Santé mentale (ESCC, 2012).

Le but général de ce travail est d’éclairer, d’inspirer et de susciter des efforts de collaboration en vue d’améliorer la santé mentale des personnes âgées au Canada. Nous espérons que ce rapport contribuera (1) à faire entendre la voix des personnes âgées (c.-àd. les personnes de plus de 60 ans) et d’autres partenaires essentiels, (2) à jeter les bases de principes, de valeurs et de stratégies fondés sur des données probantes, et (3) à susciter des initiatives collaboratives d’un océan à l’autre afin de mettre en place les conditions et les environnements qui optimiseront la santé mentale, le vieillissement en santé et les expériences des personnes âgées.

Vu les retards des enfants avec trisomie 21 (T21) dans tous les domaines d’habiletés fonctionnelles (motricité fine et globale, cognition, communication, habiletés sociales et en autonomie), il est essentiel de les évaluer finement et de les stimuler précocement pour limiter des incapacités secondaires et améliorer leur qualité de vie. 

Vous trouverez dans ce guide pratique de l’information utile sur les signes du vieillissement à observer.

Le présent document s’appuie sur le document Vivre pleinement et être autonome dans la collectivité original et élargit sa portée. Il présente trois grandes réformes qui amèneront le gouvernement provincial, les organismes de services, les familles et les personnes elles-mêmes à avoir davantage de choix personnels et à s’intégrer à leurs collectivités : 

L’élargissement du financement direct

Une démarche qui s’éloigne des programmes de jour collectifs pour adultes

Des possibilités accrues de vie en autonomie avec un soutien approprié